Une bonne fessée comme une vraie femme a besoin parfois d’en recevoir une et un vrai homme en donner une !!!, par Alain

J’ai fait la connaissance de ma femme Sylvie, dans les années 80 et pendant des semaines et des mois, alors que nous nous fréquentions, j’ai tout supporté d’elle : ses caprices, ses sautes d’humeur, sa façon d’envahir mon studio comme un ouragan … Je l’avais souvent par jeu menacée d’une fessée sans jamais la lui donner. Pourtant un jour, alors que nous nous rendions chez ses parents, malgré ses 24 ans, elle joua une fois de plus la « petite fille gâtée » et comme je ne cédais pas à ses caprices, elle me pinça le bras, alors que nous étions arrêtés à un feu rouge, à quelques centaines de mètres de notre arrivée. Lorsque nous arrivâmes à l’appartement de ses parents, absents à ce moment là, je lui annonçais qu’il avait bien trop longtemps qu’elle était insupportable depuis notre première rencontre et aussi qu’elle n’avait pas reçu une bonne fessée.
Les yeux dans les yeux elle affirma que la fessée ne l’impressionnait pas du tout et qu’à son âge cela n’aurait aucun effet. Je lui annonçais que ce que l’on allait voir de suite ou du moins elle senti ; avisant le canapé du salon, la saisissant par la main, je m’y dirigeais, m’y installais, sans la lâcher et la renversais en travers de mes genoux ;
S : « si tu touches un seul de mes cheveux, je ne te parle plus jamais … »
A : « rassures-toi, ce ne sont pas tes cheveux que je vais toucher !!! »
La maintenant fermement à la taille pour qu’elle se débatte moins, je lui retroussais sa jupe jusqu’à la taille sur ses jambes gainées d’un collant noir, jupe dont la doublure se déchira lorsque j’eus à lui faire franchir la cambrure des hanches de Sylvie …
S : « arrêtes tes bêtises … ma doublure est déchirée … tu a assez fait de dégâts sur ma jupe … il va falloir que je répare la doublure … alors au prix des collants de cette marque, inutile de me le filer !!! »
Je profitais un instant de la vue de cette paire de fesses sous collant offerte sur mes genoux, puis méthodiquement je commençais la fessée … après une bonne douzaine de claques, bien fermes sur chacune des fesses, l’une après l’autre, chacune arrachant des « aïe », « ouille », « non » … je m'arrêtais un instant et lui annonçais qu’elle venait de subir uniquement un échauffement et qu’elle devait savoir comme moi comment se donnait une vraie fessée ???
Mais je ne m’arrêtais pas là et passais ma main sous l’élastique du collant et surprise, Sylvie me facilite la tâche en prenant  appuis sur ses genoux et soulevant son ventre  … de plus elle porte un collant-culotte, donc pas de petite culotte à baisser !!! Je la déculotte donc généreusement, baissant le collantjusqu’à mi-cuisses … Jupe retroussée, « cul nu » comme une gamine, le derrière à l’air et bien exposé sous mes yeux, Sylvie ne pousse  même pas, un « oh !!! » d’étonnement, d’indignation …
S : « ça y est, c’est fini … si  tu voulais voir mes fesses, tu pouvais attendre ce soir !!! »
A : « pas du tout, je n’ai même pas encore commencé et crois-moi depuis que tu me cherches, tu m’as trouvé et vais te faire regretter, même si tu n’es pas grosse d’avoir une bonne paire de fesses bien potelées, pas encore assez rouges et chaudes à mon goût !!! »
S : « si jamais tu fais ça, je ne te parle plus … »
A : « au moins ce sera plus calme !!! »
S : »je demande le divorce … »
A : « nous ne sommes même pas encore mariés !!! »
Je resserrais mon étreinte au niveau de sa taille … Sylvie comprit qu’elle avait perdu et je la vis serrer fortement les fesses, tandis qu’elle replongeait sa tête dans les coussins du canapé. Sans attendre, la fessée crépita dans le salon… les claques crépitaient encore plus vite et plus fort sur les fesses nues qui dès le début se contractèrent fermement pour au bout de longues minutes devenir moins fermes et tressauter dans tous les sens, battant toujours des jambes, mais la tête enfuie dans les coussins du canapé que Sylvie par orgueil féminin devait mordre à pleine dents pour contenir la douleur d’un derrière de plus en plus rouge !!!  Sylvie ne criait plus, même si elle se tortillait dans tous les sens, battant l’air des jambes qu’elle en perdit un escarpin … et après plusieurs dizaine de claques, j’entendis ceci :
S : « s’il te plait ... arrête ... je promets d’être sage … »
Je décidais de cesser la fessée, mais pas de suite pour lui montrer et lui prouver qu’elle n’était ni en position, ni en tenue pour demander quoique ce soit lui claquant encore un peu les fesses ; une fois que je m’arrêtais, je vis le derrière qui jusqu’à présent rougissait et sur lequel s’imprimait la marque de ma main et de ses cinq doigts, devenir écarlate et posant la main dessus, je le sentis brûlant !!! 
Sylvie avait les fesses aussi rouges qu’une paire de tomates bien mures et resta ainsi de longues minutes les fesses à l’air dans la chaleur, pleurnichant le visage dans le coussin et se massant les fesses à deux mains … avant de se redresser, quitter le canapé les jambes entravées dans le collant et se jetant à mes genoux, elle m’avoua :
S : « je ne savais pas que tu savais te faire obéir comme ça des vilaines grandes filles !!! »
Et elle disparut dans la salle de bain remettre un peu d’ordre dans sa tenue et se refaire une beauté, les larmes ayant coulé sur son léger maquillage, Pendant le trajet,  qui nous conduisait à la maison de famille où tous nous attendaient. Sylvie m’avoua que la fessée jupe retroussée et culotte baissée était humiliante, mais qu’elle était beaucoup moins douloureuse que jupe retroussée par-dessus le collant, sous lequel ses fesses sous l’intensité de la fessée ne pouvaient se détendre au fur et à mesure des claques. Elle conclut ainsi :
 
: "sais-tu que pour une femme c’est amusant de savoir qu’elle mérite une fessée … c’est excitant de l’attendre, mais qu’est-ce que c’est cuisant de la recevoir !!! ».

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